Organisateur d'une telle activité dans mon quartier, je suis choqué de la demande des parents : combien on vous doit?
Le sourire d'un enfant ou la rencontre de parents du quartier suffisent amplement à la peine.
La commercialisation de fêtes simples prend des proportions inquiétantes: il faut payer pour une brocante sur son trottoir, à défaut des étrangers peuvent s'y installer, il faut payer pour une chasse aux oeufs, aller voir Saint-Nicolas, voir la crêche de Noël,...
Stop! Retrouvons le plaisir intaxable de se rencontrer autour d'un apéro, d'un barbecue, d'une petite fête.
dimanche 12 avril 2009
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