Il semble enfin qu'un tabou saute à propos de la violence à Bruxelles, les zones de non-droit , les problèmes ethniques de la violence, l'influence du métro dans la contagion du racket, tout commence à faire débat.
Même au conseil communal: d'après le Bourgmestre, tous les membres actifs de BU sont identifiés si ils habitent la commune ou y ont commis un délit. Une tactique a été mise en place pour poursuivre au plus vite dès la première infraction, souvent de roulage, le trajet juridique plus rapide permet de suivre le délinquant sans tarder. La police du métro est également à opérer des arrestations.
Enfin, on nous promet l'installation de caméras de surveillance dès janvier. Espérons qu'un conseiller interpellera le Député-Bourgmestre, bien au courant de la loi fédéral qui devra bientôt régir ces aménagements sécuritaires.
Je note cependant que l'observatoire Ba Ya Ya, le Commissaire spécialisé dans les BU, le Parquet ou les Nouvelles de Bxl-Est n'ont pas le même discours en la matière, ni même une définition commune des BU.
Un débat à suivre, de près, restez cependant sur vos gardes comme le conseille le Commissaire Divisionnaire Boland.
http://www.lesnouvelles.be/index.html
http://www.guidesocial.be/observatoire-bayaya/
http://rtbf.be/info/regions/bruxelles/faut-il-avoir-peur-des-bandes-urbaines-a-bruxelles-152961
http://www.policemontgomery.irisnet.be/fr/contact.htm
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